Du patron au solide

Pour garder une trace des patrons que je fais réaliser aux élèves, je demande de les découper, de plier le long des arêtes puis de coller uniquement une face sur le cahier. Ainsi, ils peuvent reconstruire le solide à partir du patron sans le perdre. Ce qui donne cela :

Rien d'exceptionnel ! Nous sommes nombreux à procéder ainsi. 

En flanant sur Internet, j'ai vu cela ...

Wahou !! J'ai trouvé l'idée géniale. Et je dois avouer que j'ai eu envie de la tester en classe.

Mais quel est l'intérêt de le faire ?
C'est chouette, c'est sympa et on peut reconstruire le solide. Euh ! En fait, avec l'ancienne méthode, on peut aussi reconstruire le solide. Donc, au final, pas de valeur ajoutée. Et en plus, cela doit demander un peu plus de temps ... et de matériel. Le résulat sera-t-il suffisamment résistant ? Il faudrait au moins des feuilles cartonnées ou alors au moins des oeillets (ceux qu'on utilise pour les feuilles de classeurs). Cependant, l'idée reste sympa.

Peut-être à tester dans le cadre d'une exposition ... Une telle maquette permettrait de mieux visualiser les patrons que l'on peut associer à un solide en y associant une petite part de manipulation.